Mais, Jimmy Rosenberg…
Beaucoup de choses m’agacent ou me dépriment dans l’actualité. Et parmi elles, l’incompétence ravie de Christine Lagarde (article ici), la faiblesse de la croissance française (article ici), les perspectives préoccupantes de l’économie européenne (article ici) et américaine (article ici), l’absence de mesures probantes pour rehausser le pouvoir d’achat, tout ce qui patine dans ce gouvernement (et ce n’est pas ce qui manque), le décevant Nicolas Sarkozy, etc…
Mais pas le charmant Jimmy Rosenberg. Non. Au contraire, le gipsy jazz de cet artiste prodige néerlandais (premier album à treize ans) suffit à me mettre de bonne humeur instantanément. And The Music goes round and round....
Une reprise inspirée et caliente de Can’t give you anything but love